A la différence des déodorants visant à masquer les odeurs qui accompagnent la transpiration, les antitranspirants ont une efficacité sur l’excrétion de la sueur.
Le chef de file est représenté par les sels d’aluminium (chlorure et hydroxychlorure d’aluminium) et son efficacité a été démontrée dans quelques études contrôlées. Le chlorure d’aluminium est l’antiperspirant local le plus efficace.
Pour minimiser l’irritation, le chlorure d’aluminium doit être appliqué sur des aisselles sèches au moment du coucher, puis totalement éliminé par le lavage après 6 à 8 heures. Il est donc appliqué toutes les 24-48 heures jusqu’à normalisation de la sudation, puis une fois toutes les 1 à 3 semaines.
L’impact sur la santé de l’exposition à l’aluminium est source de nombreuses controverses et depuis les années 90 l’utilisation de produits locaux contenant des sels d’aluminium a été suspectée d’être à l’origine de cancers du sein.
Selon l’AFSSAPS et quelques études, il n’y a pas de lien entre l’utilisation de produits cosmétiques contenant des sels d’aluminium et le cancer de sein.
Le chef de file est représenté par les sels d’aluminium (chlorure et hydroxychlorure d’aluminium) et son efficacité a été démontrée dans quelques études contrôlées. Le chlorure d’aluminium est l’antiperspirant local le plus efficace.
Pour minimiser l’irritation, le chlorure d’aluminium doit être appliqué sur des aisselles sèches au moment du coucher, puis totalement éliminé par le lavage après 6 à 8 heures. Il est donc appliqué toutes les 24-48 heures jusqu’à normalisation de la sudation, puis une fois toutes les 1 à 3 semaines.
L’impact sur la santé de l’exposition à l’aluminium est source de nombreuses controverses et depuis les années 90 l’utilisation de produits locaux contenant des sels d’aluminium a été suspectée d’être à l’origine de cancers du sein.
Selon l’AFSSAPS et quelques études, il n’y a pas de lien entre l’utilisation de produits cosmétiques contenant des sels d’aluminium et le cancer de sein.